Le prochain gouvernement israélien devra soit augmenter les impôts soit réduire les dépenses pour contenir le déficit budgétaire, a déclaré le gouverneur de la Banque d’Israël, Amir Yaron, dans une lettre publiée à l’occasion de la présentation du rapport annuel 2018 de la banque centrale.
Le déficit budgétaire en 2018 est passé à 2,9 % du produit intérieur brut, ou PIB, soit un point de pourcentage de plus que le déficit de 2017, les dépenses publiques ayant augmenté et les recettes fiscales ayant diminué l’an dernier. Cette augmentation du déficit a mis fin à la tendance à la baisse du ratio de la dette publique au PIB, qui a atteint 61 % cette année. (Times of Israel)

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