Le désir sexuel n’est pas seulement une question d’hormones et de psychologie, mais aussi de la génétique, selon un chercheur de l’Université hébraïque qui a montré pour la première fois que les variations communes dans la séquence de l’ADN dans le gène du récepteur D4 affecte le niveau du désir sexuel, l’excitation et la fonction de chaque individu.
L’hormone de l’amour
Selon une étude de l’Université Bar-Ilan, le secret de l’amour durable est l’ocytocine, une hormone affectant la reproduction sexuelle, le lien maternel et l’anxiété. Sur 60 couples dans l’étude, ceux qui ont fini par rester ensemble ont un niveau sanguin plus élevé en ocytocine que ceux qui ont rompu. Les couples avec les niveaux les plus élevés en ocytocine étaient encore ensemble six mois après le début de l’étude.
Longue vie ou reproduction ?
Selon une étude israélienne et internationale, le taux de reproduction réduit et un régime riche en plantes allongerait la durée de vie des reptiles. Les chercheurs ont noté que la reproduction est physiquement et émotionnellement stressant pour les mamans reptiles, et les rend plus vulnérables aux prédateurs. De plus, les serpents et les lézards ayant une maturation sexuelle antérieure sont morts plus jeunes. Les régimes herbivores, les climats plus froids et les plus grandes tailles de corps ont également été trouvés pour favoriser la longévité. On ne sait pas encore si les conclusions de l’étude pourraient s’appliquer aux humains.
Le sexe nous rend plus puissant
Une étude de l’Université Ariel a été la première à tester la « manipulation sexuelle » comme un moyen pour influencer le conjoint sur les décisions d’achat pendant que le couple est en vacances. Les chercheurs ont constaté que le conjoint perçu comme ayant moins de pouvoir dans le mariage était plus susceptible d’utiliser le sexe comme une «stratégie d’influence du conjoint ».
Source : http://coolisrael.fr/29331/10-secrets-israeliens-sexe

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