Les dépenses nationales pour l’éducation ont atteint 7,8% du PIB. Elles comprennent, entre autres, les dépenses courantes dans tous les établissements d’enseignement publics et privés.
Malgré la loi sur l’éducation obligatoire gratuite, les parents ont financé 21,9% des dépenses nationales d’éducation de leur propre poche.

Il s’agit d’une augmentation de 5% par rapport à 2015, qui faisait elle-même suite à une augmentation de 3,3% en 2014. Selon le Bureau central des statistiques, ces dépenses comprennent, entre autres, les dépenses courantes dans tous les établissements d’enseignement publics et privés à tous les niveaux – de la maternelle à l’enseignement supérieur, les dépenses des ménages pour les cours particuliers, les manuels scolaires et les dépenses pour la construction d’établissements scolaires et l’achat de matériel. (Source : Alliance.fr)
La scolarité est obligatoire et gratuite de 6 jusqu’à 18 ans. Elle commence à l’école primaire (classe de 11e à la 6e), se poursuit dans les collèges (de la 5e à la 3e) et au lycée (classes de seconde, première et terminale). Environ 9% de la population scolaire après le primaire fréquente des internats.
Le caractère multiculturel de la société israélienne se reflète dans le système éducatif. Les écoles sont divisées en quatre groupes : écoles d’Etat laïques fréquentées par la majorité des écoliers ; écoles d’Etat religieuses mettant l’accent sur les études juives, la tradition et les préceptes religieux ; écoles arabes et druzes avec enseignement en arabe et programme comprenant l’histoire, la religion et la culture arabe et druze ; écoles privées placées sous la direction de diverses entités religieuses et internationales.
Au cours des dernières années, l’influence croissante des parents et leur souci d’orienter l’enseignement dispensé à leurs enfants ont entraîné l’ouverture de nouvelles écoles reflétant les philosophies et convictions de groupes spécifiques de parents et d’éducateurs.

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