En Californie, une startup Israélienne développe une solution pour protéger l’identification des visages.

Gil Perry et Sella Blondheim se disent “sociables”. Génération Facebook, ils auraient bien aimé partager leurs photos, leurs délires ou encore leurs aventures en Amérique du sud une fois leur service militaire achevé. Problème, ils étaient engagés dans les forces spéciales israéliennes avec comme interdiction toute diffusion de leur visage.
50% des Américains ont déjà leur visage scanné
Gil Perry et Sella Blondheim se sont rendus compte qu’ils n’étaient pas les seuls à subir cet exil numérique.
Agents gouvernementaux, officiers ou personnels liés à la sécurité des pays : ils sont nombreux à subir ce devoir de réserve. Une contrainte d’autant plus justifiée que les techniques et les dispositifs d’identification sont de plus en plus nombreux.
Selon une étude de l’université de droit de Georgetown, 50% des Américains ont déjà leur visage scanné et fiché. “Une fuite en avant”, selon Gil Perry qui dénonce l’usage massif de la reconnaissance faciale. « Maintenant, tout le monde doit en être conscient. Les rues d’aujourd’hui sont couvertes par des caméras, nous avons tous des smartphones. Nous sommes toujours photographiés.
Source : LPH (Copyrights)

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